Le K'thri remonte au début de l'histoire Zabrak sur Iridonia, où cette forme servait de combat rituel. Cette forme tribale était fortement basée sur des mouvements de danse rythmiques mélangés à des variations sporadiques entre des mouvements lents et rapides. La forme a connu une sorte de renaissance en tant que source de fierté des Zabrak ainsi qu'en tant qu'art particulièrement adapté aux compétitions. Les attaques axées sur les acrobaties et les coups de pied sont devenues plus importantes, permettant des cascades plus époustouflantes qui peuvent attirer et distraire l'œil. Acrobatique et particulièrement impressionnant, le K'thri se fonde sur la vitesse d'exécution, la précision, la fluidité des mouvements et le sens de l'équilibre. L'aspect psychologique est important puisqu'une bonne partie des techniques sont acrobatiques et clairement intimidantes. Certaines techniques particulièrement visuelles peuvent en revanche être totalement inefficaces.
L'objectif du pratiquant de K'thri est d'utiliser la tromperie et la ruse pour mener l'adversaire dans une position de vulnérabilité absolue. Les adhérents attendent patiemment que l'adversaire tombe sous le coup des feintes ou des fausses ouvertures qu'ils présentent avant de porter le coup de grâce. Il est à noter que la pratique sportive du K'thri diverge grandement du K'thri réel, qui est bien moins tape à l'oeil et plus pragmatique. (1 mois)