Slivilith et Sempidal : Comment est traitée la créature?

Slivilith et Sempidal : Comment est traitée la créature?
Type de mission
  Opération diverse
Commanditaire
Zone d'intervention
  Lieu indéfini
Faction en présence

Briefing de mission

MAXIMUM 6 joueurs-joueuses dans cette mission.

Si vous vous désistez, prévenez-moi assez à l'avance, pour qu'un autre joueur- une autre joueuse puisse s'inscrire.


L'Ordre Jedi va se rendre sur Sempidal, planète située à l'autre bout de la Galaxie, afin de savoir comment est traité le Slivilith, créature qu'ils avaient réussi à confiner sur Melida.

L'équipe de scientifiques qui l'a recueillie, l'Égide, est-elle une équipe scientifique digne de ce nom et respecte-t-elle vraiment la créature?


Rapport de mission

Rapport du Maître Jedi Mellek Manwë, sur la mission du 22/05/+90.


Participants:

Chevalier Nymhue Ross

Padawan Kaga Kryze

Padawan Dagan Rae

Et moi même


Lieu: Complexe de l’Égide, Sempidal


Le Chevalier Ross m’a proposé de rejoindre l’équipe Jedi à destination de Sempidal. Sur place, au sein du complexe de l’Egide, était gardé en captivité un Slivilith, que les Jedi avaient confié à l’organisation scientifique. [ Voir les rapports de mission précédents ]

Elle voulait s’assurer que la créature était bien traitée, non soumise à d’éventuelles expérimentations. Elle dispose d’une accréditation spéciale, lui garantissant libre accès au Slivilith.



Me voilà donc embarqué dans le cargo médical du Chevalier Ross, accompagné des Padawan Kryze et Rae. La jeune Kaga avait prévu plusieurs caisses de munitions et d’explosifs, ce qui m’intrigua au premier abord. Mais après avoir échangé avec le groupe, l’hypothèse d’un mauvais traitement impliquerait une fermeture “définitive” du complexe.


Nous avons rapidement rejoint la planète Sempidal. A notre arrivée dans les locaux de l’Égide, nous avons été accueillis par le Docteur Francesca Blye, une humaine d’une quarantaine d’années, très stricte au demeurant. Puis son assistante a pris le relais. Mademoiselle Pénélope Whithers. Plus âgée, mais plus enjouée également.


Je savais que les deux Padawan scrutaient chaque individu à travers la Force, chaque garde, chaque scientifique, chaque interlocuteur. Kryze guettait partout, essayant de trouver des failles dans la sécurité, ou des accès secondaires s’il fallait s’extraire rapidement. Confiant dans leurs capacités, je me suis contenté d’engager la discussion, pour détendre un peu l’atmosphère, et pousser l’assistante à parler.


L’Égide est un groupement scientifique neutre, bénéficiant des donations de riches citoyens des quatre coins de la Galaxie. Je n’étais pas spécialement renseigné sur le sujet, j’ai donc prétexté être au courant de la participation de Naboo au capital, par le biais des relations que j’entretenais avec la famille royale lors de ma Chevalerie. Ça a surpris Miss Whithers, exactement la réaction que je recherchais.


Nous sommes finalement arrivés dans une partie du complexe reproduisant une vaste jungle sur plusieurs kilomètres. Dans les airs flottait le Slivilith, qui venait de terminer son repas. L’animal se portait on ne peut mieux. Cela a été l’occasion de rencontrer son soigneur, Krahir Altan. Un jeune homme très investi dans son travail. Peut être trop, auront pu ressentir les Jedi. Nous avons pu échanger avec lui sur la relation qu’il entretenait avec la limace de l’espace. Son alimentation, ses conditions de vie, son instinct de chasseur. 


Le Padawan Rae s’est montré légèrement suspicieux, quant à l’attachement presque excessif du soigneur. Mais aucun signe de mauvais traitements, rien de dangereux pour le Slivilith, pour le personnel et pour Sempidal. La situation était tout à fait sous contrôle, la mascotte des Jedi était dans une forme resplendissante. Mission accomplie. Après avoir été assuré que nos accréditations étaient toujours valables, afin de pouvoir rendre visite à notre encombrant ami, nous avons pu prendre congés et repartir sur Manaan.


Nota Bene: Mademoiselle Pénélope Whithers a insisté, au cours de nos échanges cordiaux, sur la nécessité de trouver de nouveaux fonds privés pour financer l’Égide. Je garde ceci en tête. Si la collaboration entre l’Ordre et l’Égide porte ses fruits, je devrai être vigilant quant à de nouvelles opportunités financières. Pour l’instant je reprends doucement du service au sein de l’Ordre, mais cet aspect diplomatique m’intéresse fortement.


Rapport rédigé par Mellek Manwë.

Participants