Lysandre est né sur Chandrila. Sa mère et son père sont deux scientifiques. Sa mère est biologiste et son père physicien. Ils travaillent tous deux pour l’État. Elle sera élevé au bord de l’océan par une voisine; ses parents étant très pris par leur travail. Cette humaine lui offrira l’affection et la tendresse que sa mère n’arrive pas à lui donner. Il faut dire que ses parents sont d’anciens esclaves et n’ont pas connu leurs parents respectifs. Ainsi, ils ne savent pas trop y faire et c’est cette fermière, Laurelyne, qui prendra soin de Lysandre quand c’est derniers sont loin.

Jusqu’à ses six ans, elle vécu une enfance paisible. Entourée par Laurelyne, son mari et leur fils, elle coulera des jours heureux entre le dure travail de la terre et les escapades à la plage avec son frère de lait. Mais toutes bonnes choses à une fin et ses géniteurs viennent l’amener diner un soir dans un beau restaurant. Laurelyne lui a fait mettre une jolie robe pour l’occasion et bouclé ses longs cheveux blanc.

Durant le repas, elle a tout le loisir d’observer sa mère dont elle est le portrait tout craché. Mais les deux êtres devant elle sont bien froids comparés à Laurelyne et elle se sent mal à l’aise. Le repas se passe dans un quasi silence de mort et quand son père lui annonce qu’elle va venir avec eux et aller dans une grande école, Lysandre panique et fait sa crise. Ceci à pour effet de choquer son père et le soir même, elle est laissée sur le pas de l’académie où elle passera les dix prochaines années.

La vie d’étudiante est difficile au début. Laurelyne lui manque. Sa vie lui manque. Elle ne reverra d’ailleurs jamais sa maman de l’océan. Mais dix ans plus tard,elle est passée de petite fille indomptée à jeune femme bien éduquée. Au cours de ses douze années, elle a trouvé refuge dans l’atelier de mécanique et le hangar. Par peur de perdre à nouveau les gens qu’elle aime, elle préfèrera bidouiller sur les robots et les vaisseaux plutôt que de forger des liens avec les autres pensionnaires. Ses parents viendront la visiter régulièrement, mais rien de concluant ne sortira de ces échanges.

Elle a donc dix-huit ans lorsqu’elle quitte son pensionnat pour une chambre étudiante. Encore une fois, elle reste loin des autres étudiants et surtout sa pensionnaire. Cette dernière s'interroge sur l’attitude de Lysandre et entreprendra de l’ouvrir au monde. À force de patience et de gentillesse, elle y arrivera et Lysandre aura désormais une amie.

Outre ses cours de mécanique, robotique, électronique et informatique, Lysandre assistera à des cours non obligatoire par pur plaisir. Elle suivra donc des cours d'histoire, de philosophie, de psychologie, de biologie...

Alors qu’elle a 23 ans et que ses études se terminent bientôt, elle est amené sur Coruscant pour un voyage de détendre entre étudiants.

Lysandre est une jeune femme calme. Elle fait preuve d'une grande capacité de concentration et d'une soif de savoir hors du commun. Alors que les autres jeunes de son âge "jouent" ensemble, elle est enfermée et travaille sur son droïde ou assiste à des cours. Elle se tient surement trop en retrait des autres d'ailleurs.

Des cheveux blanc comme la neige, un teint de lait, des yeux bleu presque blanc entourés de longs cils fournis, un nez court, des lèvres roses et charnues, des mains aux longs doigts fins... voilà une femme à la beauté attachante. Elle est à demi-arkanienne et à demi-offshoot et cela ce voit à ses yeux presque entièrement blanc et ses oreilles ronde. Sans être la perfection, ses traits se marient pour lui donner un air mi-femme, mi-enfant. Elle sourit peu et parle encore moins. Elle scrute le monde de loin sans s’y mêler.

Elle préfère les jeans, camisole et chemise à tout le reste. Elle porte peu d’attention à son apparence en fait et se balade souvent le visage souillé de graisse et d’huile.

Manifestations de la Force : Son affinité à la Force ce manifeste dans ses réflexes et son anticipation des événements. Elle va placer par exemple sa main pour rattraper la chute d'un objet avant que ce dernier ne commence à tomber. Elle va saluer quelqu'un avant qu'il ne la salut et entre dans la pièce et quand on lui demande: "Tu ne me salut pas?" elle croit simplement que la personne ne l'a pas entendu. Ces manifestation ne sont pas constantes et passent totalement inaperçues car elle est souvent seule dans son atelier ou encore, on le voit comme le résultat du hasard.

Handicape : Elle souffre de prosopagnosie légère.