Il y a quelques jours nous avons reçu un appel de détresse du Chevalier Farhod Narrus, un des trop nombreux Jedi portés disparus et présumés morts suite à la chute de Coruscant. Il s'agit d'un ancien veilleur qui n'a pas répondu à l'appel de rapatriement de tous les Jedi pour des raisons qui restent à déterminer. Il se trouvait dans les confins de la bordure extérieure au moment de l'attaque du Temple. Il serait visiblement en vie et aurait fait profil bas depuis. Suite à l'annonce de l'ouverture de l'Ambassade il a tenté de rejoindre Mon Calamari mais à été intercepté en chemin par des pirates dans le secteur de Trandosha, c'est du moins ce que dit le message de détresse. Depuis nous n'avons plus de nouvelles, mais suite à une enquête approfondie sur les marchés parallèles de Trandosha une vente aux enchères illicites a attiré notre attention. Les vendeurs sont des esclavagistes trandoshan. Un lot Très Spécial sera mit en ventes, le mot "Jedi" n'est jamais mentionné mais tout porte à croire qu'il s'agit bien du Chevalier Narrus, les pirates espèrent visiblement en tirer encore plus qu'en le livrant au Sith, les enchères sont donc ouvertes au prix de la récompense promise par les sith pour un chevalier.

L'ordre de mission est le suivant :
- Se rendre à la vente sous la couverture d'acheteurs potentiels afin de vérifier si le Chevalier s'y trouve bien.
- Le cas échéant engager son exfiltration dans la plus grande discrétion possible.
- Dans le cas contraire essayer de rassembler le maximum d'information sur la localisation du Chevalier.

/!\ Attention /!\ :
- La vente d'un prisonnier Jedi n'étant pas explicitement mentionnée et résultant d'une simple déduction de notre part par corrélation avec l'appel de détresse, nous doutons fortement qu'elle ai attiré l'attention des Sith, aucune ingérence de leur part n'est donc à craindre à priori. Évidement prudence est de mise, il ne faut pas non plus exclure totalement cette hypothèse.
- La procédure à employer pour libérer le Chevalier s'il y a lieu est à votre appréciation, cependant il va sans dire qu'une confrontation ouverte directe ne saurait se terminer que par un bilan catastrophique, discrétion et ruse sont donc primordiales.