Acerus Mowa'ceru'

Acerus Mowa'ceru'
Padawan Consulaire
Genre
Masculin
Race
Chiss
Âge
29 ans
Lieu de naissance
Csilla
  Acerus est un ancien personnage et ne fait plus activement partie du jeu.

Dernières activités

Relations

Biographie

Date de naissance
67 ap. BY (29 ans)
Lieu de naissance
Csilla
Affiliation

center]L'obscurité dominait notre monde. Le froid maintenait notre survie et entretenait notre évolution. La nourriture éveillait en nous la compétitivité.


Puis vint un temps où l'obscurité ne nous empêchait plus de voir. Le froid ne nous incommodait plus autant. Et la nourriture ne manquait plus.


Vint alors la naissance d'un empire. L'empire Chiss.


An 139 - Csilla, planète mère de l'Ascendance.


Selon nos coutumes, aussi anciennes que l'est notre climat inhospitalier, les réactions de l'enfant à sa naissance définira son éducation et sa formation. Afin d'apporter son juste soutien à la puissance galactique qu'est la nôtre, connaitre sa place est primordial. Sans cela nous n'aurions nulle organisation ou ordre.

Étonnamment, mon esprit a gardé quelques brides de souvenirs de ce bref mais pertinent moment. Je ressens une nouvelle fois cette brûlante douleur au poitrail. Douleur m'arrachant un cri suppliant que cela cesse. Je n'en pouvais plus, la glace emplissait mes poumons et gelait peu à peu mon organisme. Le sommeil éternel et froid m'était-il destiné dès mon éveil ?

Mes supplications diminuèrent en intensité et le silence s'établirent sur mes lèvres. Ma douloureuse étreinte avec Csilla était achevée. Je refermais mes minuscules doigts sur les flocons tombant au gré d'un vent qui me chatouillait les oreilles. Je sens encore la neige fondre sur mon paupières et encourager ainsi leurs ouvertures.

Mes yeux écarlates s'ouvrirent et firent connaissance avec les ténèbres. Avant d'accomplir celles de mes géniteurs.


Je gazouille lorsqu'on me prend dans leurs bras et me sent en sécurité, rassuré. Mes épreuves en valaient la peine. Mes yeux de feu s’adaptent aux ténèbres, ces derniers ne me bloquent nulle passage vers leurs visages. Plus maintenant.

Après un temps achevé d’une jeunesse courte. Il est plus dans l’urgence de se former, dans le but de trouver sa place véritable au sein de l’Ascendance. Tout étranger à notre noble empire pourrait remarquer l’absence d’inactivtés. Qui que nous soyons, nous possédons tous un travail propre. Sans cela nous ne possédons aucune affiliation.

Pas d’affiliation, pas d’identité.
Pas d’identité, pas de citoyenneté.
Et si pas de citoyenneté, aucune raison de demeurer Chiss.

Non, discuter d’inactivités est synonyme de tabou et sujet aux rires. Notre empire est divisé par de puissants clan. Les Sabosen s’occupant des divers éléments liés aux savoir et à la connaissance et à la justice. Les Nuruodo gèrent quant à eux les divers éléments liés à la sécurité et à l’armement.
Nous disposons d’un bien plus grand nombre de clans, mais ils ne sont aucunement l’objet de ces écrits.

An 146 - à 12 années-lumières de Csilla
Destroyer Chiss Sendaryu

Nous étions 5 en tout à avoir obtenu selon nos tests respectif l’assignement au clan Nuruodo. Par la suite, on nous fit parvenir notre convocation à bord du Destroyer dans le but de débuter notre longue formation à celui d’Amiral de flotte à notre tour.

Il n’y avait nulle résignation dans nos rangs. Une simple réticence au vide sidéral, qui deviendra notre unique vue de l’extérieur des parois de duracier et plastacier. Et ce, durant plus de 5 années consécutives avant d’espérer revenir ne serait-ce qu’une fois.

Ce n’était pas l’une des positions les plus agréables. Néanmoins, ils faisaient partie des plus respectés. Nous allions donc devoir faire honneur au grand privilège de leur choix posé sur nous, sur moi.

Chacun de nous était affecté à une zone particulière et non négligeable du Destroyer durant une année avant de se voir réaffecté ailleurs. Certaines de ces zones étaient: le cœur énergétique; les moteurs; les hangars; gestion du personnel; le centre de commande.
Nos devoirs y étaient de s’adapter, apprendre, se former, résoudre divers problèmes ou questions et y appliquer toutes les solutions envisageables. Si la solution avait été informée d’une façon ou une autre, se tromper était inexcusable. Et plassible des pires besognes.

Ma présence durant cette première année fut donc au centre énergétique de la navette, au cœur du Destroyer. Mes premières précautions comme certainement celles de mes camarades ont été de m’informer. Entièrement.

Il s’agissait très certainement d’éléments que ma connaissance s’était déjà acquise par le passé. Néanmoins, aux grandes situations, grandes précautions. Il me devait apprendre la vision des choses de chaque membre de la zone, ainsi que des spécialiste présent, etc. Je devais savoir qui y était, leur occupation respective tout comme leurs connaissances et expériences acquises avec le temps passé sur cet appareil impérial.
Je devais à mon tour devenir leur cœur, le lien qui résidait avec chacun d’entre eux.

Je fis face à de nombreux défis. Tant au niveau technique que relationnel, il pouvait survenir quelques tensions entre le personnel. Chacun étant différent, les risques de divergences d’opinions régnaient. Je dû apprendre à user de diplomatie et de tact en pareilles circonstances.

Au bout d’un certain temps, une anomalie s’était fait ressentir au niveau des partages d’énergie pour les différents moteurs. Alors que le spécialiste principal me faisait son rapport un officier m’interpella. Il me signala ma présence requise immédiatement au pont pour ma réaffectation. Au fil des quelques mois qui s’étirèrent j’appris une chose qu’on demandait particulièrement et suivait avec attention: Notre faculté à suivre les ordres direct.
Je m’y pliais donc d’une inclination respectueuse en ajoutant un « Très bien ». Me tournant vers le spécialiste, je lui annonçais donc brièvement d’un regard qu’il connaissait depuis presque un an les différentes vérifications et précautions à prendre. Autant préparer le terrain pour mon remplaçant, car finalement le bon déroulement de centre énergétique promet le bon fonctionnement du Sendaryu. Ceci n’avait pris moins d’une minute. Je me dirigeais donc vers le pont et centre de commande en prenant garde de ne pas dépasser l’officier. J’avais tout mon temps devant moi, une deuxième année en fait.

Je devais cette fois-ci faire face à une tout autre sorte de difficulté et de taille. Ici au pont, nous ne sommes pas aussi nombreux que les spécialistes et autres personnes assignées aux moteurs ou au cœur central. Mais nous devions tout organiser et diriger en conséquence. Sans compter la barre. Moi et mes quatre autres camarades n’avions aucuns moyens ni le désir par ailleurs de communiquer entre nous, afin de s’vertir d’une difficultés, d’un tuyaux ou autres éléments utiles. Nous étions seul et devions faire avec.
Il me fallut plus d’un mois pour commencer à jongler entre les différentes tâches. Je me découvris un nouveau talent la barre et la navigation. Les difficultés dont m’opposèrent nos formateurs se composaient d’éléments en interne et externe. Je devais calculer et programmer notre trajectoire pour un entretien, une observation ou même attaque.

Je sus gérer tous ces événements non seulement à temps mais avec quelques pauses en primes, c’est peut-être bien ce point qui leur mit la puce à l’oreille, si j’ose dire.

Au Onzième mois de mon exercice, on m’imposa un test non des moindres. Le pont m’avertit la sortie d’hyperespace de trois corvettes ennemies. Et les renforts prendraient bien trop de temps avant de venir à notre aide. Tout l’étage était en ébullition, on me conseillait fortement et de nombreuses reprises de préparer les turboaser, les boucliers etc. Néanmoins mon instinct me disait que je n’avais aucune chance. Que nos adversaires ne se limitaient pas à 3 simples corvettes.

Lorsque j’ai annoncé que nous allions devoir faire un saut d’urgence, le trouble en était presque palpable. On me disait, m’argumentait avec pression qu’il valait mieux leur faire face. Quand j’ai énoncé mon soupçon de renfonrts adverses, des regards se croisèrent, il semblaient d’accord sur un même point.

On me contra quand j’imposa les coordonnées à suivre – nous rapprochant ainsi de nos propres renforts – en affirmant que nous ne disposions du temps nécessaire pour analyser la trajectoire.
Ce dernier est une procédure des plus élémentaire et importante. S’il est négligé nous ne pourrions savoir si nous passons au travers d’une étoile ou ne serait-ce qu’un minuscule astéroïde pourrait nous rendre en très mauvaise posture. À la vitesse de la lumière, ce dernier nous traverserai, laissant des dommages irréversibles
C’est en connaissance de cause pourtant, que je gardais position. Je n’aurai pu l’expliquer à l’époque, mais je savais que c’était une voie sans danger. Je le ressentais.

Nous fîmes le saut lorsque d’autres navettes adverses nous prenaient de revers.
Et comme je l’avais prévus nous nous en sortâmes indemne et hors de danger. Mais, malgré le sentiment de réussite. Je sentais que des changements autre qu’au sein de la formation allaient s’effectuer.


An 148 - Csilla
Cours de Justice Imperiale

Mon respect pour ma patrie me retiend de vous en dire d’avantage sur ses affaires internes. Sachez donc que mes divers instinct étaient un des dons de ce qu’on appelle la Force. L’empire Chiss s’est toujours fermement opposé à cette énergie cosmique. Si un Chiss se retrouve munis de cette puissance, le risque de corruption est présent et on se refuse à attirer les Sith sur l’Ascendance.
Ma vie devint compliqué, pour en revenir à mon « jugement », on me bannit et m’enleva mon titre familial des Sabosen.

C’est ainsi que je quittais Csilla, la planête m’ayant vu naître, grandir et apprendre. Après avoir fait mes adieurx, récupérés mes affaires respectifs mon père me fit part d’une navette et de ses souhaits profonds quant à trouver ma place dans l’univers.

En chemin, je fis face à l’une de mes plus extrême épreuve. J’étais seul. Sans nom, sans peuple, sans directives. J’étais perdu. Une navette, elle me serait utile pour plonger dans les profondeurs lumineuses d’une étoile, je mettrais ainsi fin à ma vie de paria par un spectacle inouï et beau.

Je possédais une telle rage que je pensais à un moment de trouver ces fameux sith afin de leur implorer sagesse. Choix tentant, le pouvoir à bout de bras. Mais je donnerai dans ce cas raison à mes frères et sœurs impériales.

Non, je fis route vers Coruscant. La route était longue, le temps nécessaire pour pleurer sur mon sort. Chose que je n’ai jamais répétée jusqu’à présent.

C’est ainsi que deux mois après, je me décida à pénétrer au sein du temple et fis ainsi mon choix.


Description physique & morale

Genre
Masculin
Race
Chiss
Taille
1m87
Sensible
Oui

[En cours de restructuration]