Il s’agira pour ce premier cours d’appréhender la théorie dite des cercles. Cette théorie est à l’origine purement défensive et très schématique mais demeure la base de certaines formes plus complexes venues plus tard. 

Récemment, on y a intégré une notion offensive pour « compléter le schéma », mais qui ne fait que le rendre moins adaptable au reste. Donc, bien que tout soit à retenir, y compris les notions offensives ajoutées, c’est principalement la défense qui est privilégiée, ce qui cadre d’autant plus au fait que les Jedi n’aient pas pour habitude d’entamer des actions musclées sans avoir au préalable essayer d’autres alternatives. Dès lors, la défense cadre mieux avec l’idéologie, en particulier celle de l’Ordre, bien plus que ce Nouvel Ordre, quoi qu’on en dise. 

Certains incluent à ce cours la conception du sabre pour tout un chacun. Il est évident qu’il est depuis longtemps le symbole des jedi puisqu’il suffit d’en avoir un pour que la perception des autres à votre égard change du tout au tout, en bien comme en mal. En tout cas ça ne laisse personne indifférent. 

Pour les jedi, le port du sabre (d’un vrai, non d’un sabre d’entrainement) est un privilège et montre que l’on est prêt à assumer plus de charges, ou de plus lourdes ; que l’on est mur : Un jedi en somme. 

C’est du moins ce que certains tendent à faire croire puisqu’un jedi en reste un tant qu’il peut contrôler la Force (quelques jedi n’utilisent jamais le sabre, à tel point que l’on doute qu’ils en aient un), le sabre est donc pour d’autres un simple outil : De paix ou de chaos, peu importe. 

Le sabre laser possède trois cristaux : Celui du milieu déterminant la couleur du laser tendis que les deux autres peuvent servir à l’amélioration de l’arme.

La théorie des cercles comporte 3 cercles distincts et imbriqués les uns dans les autres. 

• Le premier cercle est le cercle le plus à l’extérieur, nommé cercle externe ou d’attaque. Il comporte 4 gardes : hautes droite et gauche, et basses droite et gauche. Le sabre doit toujours être orienté en diagonale par rapport au sol. D’un point de vue offensif, ce cercle permet de porter des attaques de grandes amplitudes pouvant atteindre toutes les parties du corps de l’adversaire. D’un point de vue défensif, il permet de repousser les attaques violentes bien que ça nécessite plus d’aisance et d’avoir analyser l’attaque. En d’autres termes, ça permet de garder un ennemi à distance. 

• Le cercle du milieu est le cercle médian ou intermédiaire. Il comporte 4 gardes également. Le sabre doit être perpendiculaire au sol pour les gardes droites et gauches, et parallèle pour les gardes hautes et basses. Sa posture est idéale pour parer les tirs de blaster ou parer les coups rapides et peu puissants.

• Enfin, le dernier cercle est le cercle interne ou critique. Le sabre est placé près du nombril et permet de dévier les coups de son adversaire mais la distance est telle qu’à la moindre faille on est mort :o Ce cercle constitue la dernière ligne défensive, les derniers retranchements. Malgré tout un utilisateur avertit pourra feinter son adversaire en le laissant attaquer et pénétrer plus ou moins ce cercle, le laissant ainsi croire qu’il va bientôt clore le duel et que son ennemi est dépassé, en d’autres termes, laisser l’ennemi s’engager dans une attaque en négligent sa défense. Mais cela reste dangereux et le mieux reste de reprendre rapidement de la distance avec l’adversaire. De plus, agir dans le champ de ce cercle est particulièrement éreintant puisque la chaleur du sabre particulièrement (et bien qu’il y ait des moyens de l’atténuer un temps un peu) et le fait que ce le sabre puisse faire fondre tous les métaux, ne font qu’accentuer l’effort à la longue. 

[SHII-CHO]

Comme le Shii-Cho était une extension des styles traditionnels de combat à l'épée, il conservait les bases des attaques, des parades et des zones corporelles établies par ces méthodes anciennes. Le Shii-Cho favorisait un état d'esprit émotionnellement chaud, ce qui entraînait une tentation considérable d'exécuter le combat avec une intention mortelle, nécessitant une grande retenue pour exercer la forme sans aller trop loin. Malgré l'envie de tuer, le style a été conçu pour désarmer sans blesser gravement. 

Le maniement de l'épée Shii-Cho est simple et brut. 

Entre les mains d'un maître, le travail de la lame est décrit comme une eau coulant à la manière de chutes spectaculaires. Cependant, les pratiquants moins habiles affichaient des performances beaucoup plus basiques et quelque peu maladroites. En combat, la forme I encourage les tactiques délibérées, appelant à une progression continue, étape par étape, tout en coupant les angles de l'adversaire. 

Le Shii-Cho est  possible  si  on affronte plusieurs adversaires, les mouvements amples et larges étant parfaitement adaptés à l'attaque de nombreux adversaires. Cependant, la forme I n'est pas aussi utile contre les adversaires isolés, car ces derniers ont une mobilité totale et peuvent trouver une faiblesse dans le travail de lame du Shii-cho. 

  Les règles de base des attaques, des parades et des zones cibles du corps ont été établies par le combat en forme Shii-Cho. Cette forme possède également deux méthodes de combat qui déterminent la manière dont ces mouvements sont exécutés : la forme idéale et la forme de combat réel. 

La forme idéale 1 est principalement utilisée pour le combat et tous les mouvements et manœuvres sont exécutés à des angles horizontaux/verticaux parfaits, les attaques et les parades étant perpendiculaires les unes aux autres. Les attaques étant des frappes en diagonale sur chaque zone du corps, l'objectif étant d'augmenter la vitesse et de réduire le mouvement réel.